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Nos réussites

Biodiversité, canadienne, 2020, 17 % des zones terrestres, L’objectif 1 du Canada, parcs, conservation, aire protégée

 

Nos réussites

Les aires protégées jouent un rôle crucial dans les initiatives canadiennes de conservation de la nature. Elles protègent une part considérable des écosystèmes du Canada, maintiennent les services écosystémiques essentiels, préservent les habitats et offrent des possibilités touristiques, récréatives et de rapprochement avec la nature.

 
 
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Le Québec annonce 17 % de territoire protégé avant la fin de l’année 2020

Le 17 décembre 2020, le gouvernement du Québec a annoncé qu’il avait respecté son engagement de protéger 17 % de son territoire terrestre et d’eau douce pour la fin de 2020. Le Québec est maintenant la deuxième province à franchir cette étape, après la Colombie-Britannique. La superficie totale protégée du Québec (257 528 km2) est maintenant plus grande que le Royaume-Uni et se classe au premier rang au pays pour la taille absolue d’aires protégées. L’approche du Québec en matière d’établissement des aires protégées met en lumière un équilibre important entre la conservation de la biodiversité et le développement économique durable.

 
Putlaqnekatik

Putlaqnekatik

Collaboration pour la conservation en Nouvelle‑Écosse

Le gouvernement de la Nouvelle‑Écosse et d’autres partenaires sont en train de mettre en place de nouveaux réseaux pour partager les connaissances et faire avancer les travaux sur les aires protégées et de conservation dans toute la province.

Les Mi’kmaq de la Nouvelle‑Écosse, des fiducies foncières, des partenaires municipaux et d’autres organismes participent à cette initiative de collaboration, qui bénéficie d’un appui sous forme de subvention dans le cadre du Défi de l’objectif 1 du Fonds de la nature du Canada. Les principales mesures dans le cadre de cette initiative comprennent l’exploration des possibilités de création d’aires protégées et de conservation autochtones, la conservation de l’habitat essentiel, notamment des forêts anciennes et des milieux humides, ainsi que l’amélioration de la connectivité écologique et de la protection de la qualité de l’eau. 

Déjà, ce projet a permis d’obtenir des résultats intéressants en matière de collaboration et de conservation. Parmi ceux‑ci, on peut citer :

  • la protection de plus de 15 000 hectares de terres publiques dans 27 parcs et aires protégées nouveaux et agrandis (lien ici);

  • le lancement d’une grande campagne de protection des terres par le Nova Scotia Nature Trust, qui aspire à doubler son réseau de terres de conservation d’ici 2023 (lien ici);

  • la publication d’un nouveau rapport sur les APCA par l’Institut des ressources naturelles Unama’ki (lien ici);

  • une annonce de l’Assemblée des chefs mi’kmaq de la Nouvelle‑Écosse présentant le travail sur les APCA (lien ici);

  • la protection des terres de conservation essentielles en Nouvelle‑Écosse par Conservation de la nature Canada (lien ici).

 
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Première Nation crie Mikisew – Parc sauvage Kitaskino Nuwenëné

Avec le soutien du volet Démarrage rapide du Fonds de la nature du Canada, la Première Nation crie Mikisew et le ministère de l’Environnement et des Parcs de l’Alberta ont créé une nouvelle zone d’intendance de la biodiversité, qui a été officiellement désignée comme le parc provincial sauvage Kitaskino Nuwenëné en mars 2019. Le parc d’une superficie de 1 620 km2 protège les bisons et les caribous ainsi que le bassin versant du delta Paix‑Athabasca.

Suite à la création du parc sauvage Kitaskino Nuwenëné, la Première Nation crie Mikisew a reçu un financement supplémentaire dans le cadre du Défi de l’objectif 1 du Fonds de la nature du Canada. Elle travaillera avec la province, l’industrie et les propriétaires fonciers pour agrandir la zone du parc, protégeant ainsi une plus grande superficie d’habitat important et de territoire traditionnel.

 
Thaidene Nene

Thaidene Nene

Thaidene Nëné  – Terre des ancêtres

L’aire de Thaidene Nëné, créée en août 2019, est située environ 185 km à l’est de Yellowknife dans les Territoires du Nord‑Ouest (T.N.‑O), à l’extrémité est du Grand lac des Esclaves (Tu Nedhé). Elle comprend la première aire protégée territoriale des T.N.‑O., créée en vertu de la nouvelle Loi sur les aires protégées des T.N.‑O., une future zone de conservation de la faune qui sera instaurée en vertu de la Loi sur la faune des T.N.‑O. et une réserve de parc national, protégée par la Loi sur les parcs nationaux du Canada. Ces zones constituent collectivement l’aire protégée autochtone Thaidene Nëné.

L’aire de Thaidene Nëné s’étend sur 26 525 km2 et renferme des lacs, des vieilles forêts d’épinettes, des rivières et des falaises spectaculaires. Elle est le territoire ancestral de la Première Nation des Dénés Łutsël K’é (PNDLK) et revêt une importance culturelle majeure pour la Nation métisse des Territoires du Nord‑Ouest (NMTNO), la Première Nation Deninu K’ue (PNDK) et la Première Nation des Dénés Yellowknives (PNDY). L’aire s’étend sur la zone de transition entre la forêt boréale et la toundra et constitue un habitat important pour les petits et les grands mammifères et les poissons. On y trouve aussi des aires de repos clés de la sauvagine et des lieux de nidification essentiels pour les oiseaux de proie. La gestion concertée de l’aire de Thaidene Nëné par la PNDLK, la NMTNO, la PNDK, la PNDY, le gouvernement des Territoires du Nord‑Ouest et Parcs Canada permettra de s’assurer que tous respectent cette région unique et ont la chance d’en profiter au fil des générations à venir.

L’aire de Thaidene Nëné permet d’atteindre des objectifs clés pour la conservation de la biodiversité et permettra d’assurer la continuité culturelle de la région et de faire des investissements touristiques qui bénéficieront directement aux communautés voisines. Elle constitue un pas vers la réconciliation, car sa création permet de reconnaître ces zones comme faisant partie intégrante du mode de vie des communautés autochtones, et sa gestion future fera l’objet de relations de gouvernement à gouvernement.

 
Peel, Yukon

Peel, Yukon

Protéger le bassin de la Peel

En août 2019, après 15 ans de négociations, de consultations, de protestations et de contestations judiciaires qui se sont rendues jusqu’à la Cour suprême du Canada, le gouvernement du Yukon et les Premières Nations des Na-Cho Nyäk Dun, des Tr’ondëk Hwëch’in et des Gwitchin Vuntut et le Conseil tribal des Gwich’in se sont réunis pour approuver conjointement le Plan régional d’aménagement du bassin hydrographique de la rivière Peel. Selon ce plan, 55 % du bassin hydrographique, soit une superficie de 3,7 millions d’hectares, seront protégés de façon permanente en tant que ressources écologiques et culturelles. Le bassin hydrographique de la rivière Peel, une vaste région de nature sauvage presque intacte et sillonnée par six grandes rivières, n’a pas d’habitants permanents et n’a fait l’objet que d’un développement limité. En partie grâce à un financement accordé dans le cadre du Défi de l’objectif 1 du Fonds de la nature du Canada, le bassin hydrographique de la rivière Peel, dans le nord‑est du Yukon, deviendra l’un des plus grands complexes de zones protégées au Canada, protégeant l’habitat de 15 espèces en péril, dont le caribou de la toundra et le caribou boréal.

 
L’aire protégée d’Edéhzhíe

L’aire protégée d’Edéhzhíe

La première aire protégée et conservée autochtone au Canada

En juillet 2018, la première nation de Dehcho a établi l’aire protégée d’Edéhzhíe, sur le plateau Horn, du côté ouest du Grand lac des Esclaves, au sud-ouest de Yellowknife. La création de l’aire protégée d’Edéhzhíe marque la première désignation d’une aire protégée autochtone depuis la naissance d’En route vers l’objectif 1 du Canada. La zone sera également désignée en tant que réserve nationale de faune en 2020. Toutes ces mesures assurent la protection de plus de 1.4 millions d’hectares (soit 14 218 km2) de forêt boréale et d’eau, protégeant également les espèces sauvages d’intérêt comme le Caribou. Cette réalisation contribue à l’atteinte de l’objectif du Canada de 17% de terres protégées d’ici 2020. L’aire protégée sera gérée par un comité de gestion consensuel composé du Service canadien de la faune en partenariat avec les Gardiens autochtones de Dehcho K’ehodi.

 

La plus grande forêt boréale protégée au monde

Le 15 mai 2018, plusieurs parcs provinciaux nouveaux et/ou agrandis dans le nord de l’Alberta furent annoncés: Kazan, Richardson, Dillon River, Birch River et Birch Mountains. Ces parcs provinciaux contribuent à plus de 1,36 million d'hectares au réseau d'aires protégées de la province. Pour créer ces parcs, le gouvernement de l'Alberta s'est associé au gouvernement du Canada, à la Première nation de Tallcree, à Syncrude et à Conservation de la nature Canada. Cette réalisation historique illustre ce qui peut être accompli lorsque les gouvernements, les Premières Nations, l'industrie et les organisations environnementales travaillent ensemble.

 
Cormoran à aigrette

Cormoran à aigrette

Les parcs provinciaux Goose Island et Grand Island, Manitoba

Le gouvernement du Manitoba a désigné les parcs provinciaux Goose Island et Grand Island le 16 juin 2017. Situés dans le bassin nord du Lake Winnipegosis, ces îles se caractérisent par une gamme d’habitats, tels que des vasières, des marais, des falaises, des crêtes, et des forêts mixtes. Ces habitats sont nécessaires à la diversité de la faune et, en particulier, ils constituent d’importants habitats de nidifications au cormoran à aigrette, à la sterne caspienne, à la sterne pierregarin, au goéland à bec cerclé, au goéland argenté et le pélican d’Amérique.

 
Drywood Creek - Paysage typique de la région des parcs Castle

Drywood Creek - Paysage typique de la région des parcs Castle

Les parcs Castle, Alberta

Les limites élargies du parc provincial Castle Wildland ainsi que celles du nouveau parc provincial Castle sont maintenant établies. Dorénavant, une des régions les plus diversifiées sur le plan biologique en Alberta tombe sous la protection provinciale. La région du Castle abrite plus de 200 espèces rares ou en péril situées sur le versant est des Rocheuses, dans le sud de l'Alberta, près de la Colombie-Britannique et du Montana.

 

Refuge d’oiseaux migrateurs du golfe Reine-Maud, Nunavut

Avec ses 62 928 kilomètres carrés, cette aire protégée est la plus vaste au Canada. Établi en 1961, ce sanctuaire représente une zone importante non seulement pour les oies qui s’y rendent chaque année pour nicher et élever leurs couvées, mais aussi pour bon nombre d’autres oiseaux migrateurs et espèces sauvages. La valeur de ce site pour les oiseaux migrateurs est mise en évidence non seulement par sa désignation comme sanctuaire pour les oiseaux migrateurs, mais également par ses désignations comme site Ramsar du golfe Reine-Maud, comme habitat terrestre clé pour les oiseaux migrateurs, comme zone aviaire importante du Nunavut et faisant partie de la zone importante pour la conservation des oiseaux du golfe Reine-Maud.

 
Parc national Banff , photo : A. Banting © Parcs Canada

Parc national Banff , photo : A. Banting © Parcs Canada

Passages fauniques au parc national Banff

Lorsque la décision a été prise d’élargir de deux à quatre voies la partie de l’autoroute transcanadienne qui traverse ce parc de 6 641 kilomètres carrés, la création de passages fauniques et les recherches connexes sont rapidement devenues prioritaires. Aujourd’hui, avec ses 6 passages aériens, 38 passages souterrains et 82 kilomètres de clôtures routières, le parc national Banff réunit la plus forte concentration de ce genre de structures de protection de la faune au monde.

 
Oies des neiges dans la Réserve nationale de faune du Cap-Tourmentephoto : Chantal Lepire © Environnement et Changement climatique Canada

Oies des neiges dans la Réserve nationale de faune du Cap-Tourmente

photo : Chantal Lepire © Environnement et Changement climatique Canada

Réserve nationale de faune du Cap-Tourmente

La Réserve nationale de faune du Cap-Tourmente protège les marais à scirpe d’Amérique qui constituent le principal habitat des grandes oies des neiges durant leur migration. Au printemps et à l’automne de chaque année, des dizaines de milliers d’oies se posent dans cette aire protégée et se joignent à plus de 180 autres espèces d’oiseaux qui résident sur ce site. En plus de protéger la faune qui dépend de cet habitat, la Réserve nationale de faune du Cap-Tourmente offre au public, au travers de l’initiative « Rapprocher les Canadiens de la nature », la possibilité de s’adonner à une variété d’activités de plein air et d’admirer la spectaculaire migration bisannuelle des oies des neiges.

 

Réserves de la biosphère du Canada

Les réserves de la biosphère sont créées dans des aires de grande valeur de conservation, où la collectivité environnante s’est engagée à protéger la biodiversité et le patrimoine culturel, et à respecter les principes du développement durable. Chaque réserve de la biosphère est centrée sur une aire protégée et établit un équilibre entre les besoins de conservation et l’agrément des humains. Le Canada compte actuellement 18 réserves de la biosphère de l’UNESCO à la grandeur du pays, qui comprennent notamment des zones comme Southwest Nova en Nouvelle-Écosse, l’escarpement du Niagara en Ontario, le Lac-Saint-Pierre au Québec et Riding Mountain au Manitoba.

 

 

 

Rapprocher les Canadiens de la nature à la Réserve nationale de faune du Lac-Saint-François

On reconnaît de plus en plus le « trouble de déficience en nature », un terme employé pour décrire les effets négatifs personnels, familiaux, communautaires et sociétaux dont souffrent les humains lorsqu’ils sont déconnectés de la nature. Les parcs et les aires protégées sont des outils vitaux pour encourager les gens à profiter du plein air, et c’est exactement ce que vise l’initiative « Rapprocher les Canadiens de la nature ». Par une augmentation de la programmation et des installations disponibles dans certains sites accessibles d’un bout à l’autre du pays, cette initiative vise à fournir aux Canadiens des occasions de nouer des liens avec la nature. Un de ces sites est la Réserve nationale de faune du Lac-Saint-François qui se trouve à quelque 120 kilomètres de Montréal, au Québec, et où il est possible de faire des explorations en canot ou en kayak, de s’adonner à de la randonnée pédestre sur les 10 kilomètres de sentiers ou même à de la géocachette!

 
<span lang="fr">Antelope Hill d’Alberta Parks</span>

Parc provincial Antelope Hill d’Alberta Parks

Suite à la réception d’un don privé de 3,8 kilomètres carrés de prairies indigènes non perturbées, la Province de l’Alberta a annoncé la création du parc provincial Antelope Hill. Situé dans la région du centre-est de l’Alberta, ce parc protège une aire de grande valeur écologique, comprenant des prairies de fétuque hyperboréale indigène. Dans l’avenir, ce parc deviendra un endroit où les gens pourront faire de la randonnée pédestre, observer la faune et apprécier la nature.